Et... ta mère aussi ! (2024)

Les vies de Julio et Tenoch, deux adolescents de 17 ans, sont régies par leurs hormones, leur amitié et la vitesse précipitée avec laquelle ils cherchent à passer à l'âge adulte.

Au cours d'un après-midi de fête familiale, ils font la rencontre de Luisa, une Espagnole de 28 ans, et ne tardent pas à flirter avec. En plaisantant, ils l'invitent à les accompagner en voiture sur une plage sauvage appelée la Boca del cielo, sans lui dire où elle se situe, ni même si elle existe vraiment. Luisa les ignore aimablement, ils prennent des routes différentes, l'incident est rapidement oublié.

Cependant, celle-ci reçoit des nouvelles dévastatrices. Devant la nécessité d'un changement dans sa vie, elle retrouve les garçons et accepte leur offre.

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Casting complet et équipe technique

• Chronic'art.com

• L'Obs

• Le Point

• Urbuz

• Aden

• Cine Libre

• L'Express

• L'Humanité

• Le Monde

• Le Parisien

• Libération

• Télérama

• Zurban

• Le Figaro

14 articles de presse

Critiques Spectateurs : ils ont aimé

Meilleures critiques les plus utiles

50 Critiques Spectateurs

Et ta mère champion du Mexique !

Et ta mère aussi a battu tous les records de recettes et d'entrées d'un film mexicain au Mexique, au mois de juin 2001. Le film a ainsi détrôné Amours chiennes de Alejandro González Iñárritu, sorti en 2000.

Sous le soleil de Mexico

Retour aux sources pour le réalisateur. Après un long séjour aux Etats-Unis où Cuaron a notamment dirigé Robert de Niro (De grandes espérances), il avait le désir de retourner un film en langue espagnol (en chilango plus exactement, qui est l'argot de la ville de Mexico) après dix ans d'absence. Le tournage s'est déroulé sur trois semaines dans le centre de Mexico et ses environs, avant que l'équipe du film ne se dirige vers les plus belles plageLire plus

La genèse du projet

L'idée du projet remonte a plus de dix ans. Le cinéaste a d'abord écrit un premier jet du scénario avec son frère l'écrivain Carlos Cuaron. Ce script est resté longtemps dans un tiroir sans qu'un producteur ne s'y intéresse. Pour autant l'histoire n'a jamais quitté la tête de Cuaron et n'a jamais cessé de s'étoffer. Ainsi, les adultes du scénario, sont devenus peu à peu des adolescents, Emmanuel Lubezki (le directeur de la photographie et vieux cLire plus

• bebe-red

  Je viens voir les commentaires pour savoir ce que les gens ont pensé de ce film, et pan, dès le premier, le film est spoilé. Merci beaucoup, ça fait plaisir

• CreedTime

  Et avant-hier ?

• VeganForAnimalRights

  Cuaron n'a jamais été brillant, ni hier, ni aujourd'hui.Ce film ne vaut que pour ses interprètes et l'histoire sentimentale/sexuelle imprévue entre une femme et deux adolescents. Dommage que ce triangle amoureux initié par l'héroïne ait pour motivation première sa maladie. Pourquoi donner une cause à cette liberté qui est la sienne ?

• Naughty Dog

  les commentaires ici sont désespérantsY Tu Mama Tambien n'est ni plus ni moins qu'un excellent road movie sous forme de passage à l'age adulte, une ode au plaisir de la vie, avec en filigrane une dépiction socio-culturelle du MexiqueUn trio d'acteurs superbe et une réalisation caméra à l'épaule complètement maitrisée

• Hairpeace

  Au vu des commentaires ci-dessous, il semblerait que certains n'aient pas bien saisi le principe du film... Mais il est vrai qu'il est bien plus facile de s'arrêter sur le déballage obscène du film que de chercher quelque chose derrière.

• Ozzmovies

  Un road-movie érotique à travers le Mexique. A la fois ludique et culturel, ce film nous donne envie de visiter ce pays. Il est surtout un hymne au "carpe diem".4.5/5

• MTXOS

  Un vrai coup de maitre que ce film de Cuaron : http://mtx-os.blogspot.fr/2014...

• Jasper_

  Exact ! Ils mâchent beaucoup les mots et prononcent certains sons différemment ;-)

• Pauline W.

  Il est vrai qu'à première vue ce film ne semble pas présenter un grand intérêt, si ce n'est la débauche sexuelle à laquelle l'homme se confronte...On note tout de même en arrière-plan la découverte de paysages insolites du Mexique, un Mexique pauvre, mais il est intéressant de voir que cette population reste généreuse, et la partage fait sa force.

• HappyEnding

  @Henri Mesquida : Ce n'était pas un dialecte, mais de l'espagnol tel qu'il est parlé au Mexique.

• Veole

  C’est un film profondément inutile, auquel — j’ai beau chercher, et y mettre de la bonne volonté— je ne trouve pas le moindre intérêt. Que ceux qui sont affligés par les premières secondes de cette « œuvre » n’aillent surtout pas au-delà : la suite —et ce, jusqu’à la fin…— est du même tonneau. D’« affligeant » ou d’« inutile », je ne sais pas quel qualificatif définit le mieux ce « film » (puisqu’il faut bien l’appeler ainsi même si on est tenté d’employer un autre terme). Si je devais malgré tout justifier la demi-étoile que je lui ai mise —dans ma grande mansuétude—, ce serait (d'abord parce que je n'ai pas pu mettre moins) pour les paysages du Mexique. (Tiens, je lis que c'est une comédie, j'en déduis qu'on était donc censés rire, ou au moins sourire, à un moment.) Enfin, si je prends la peine de produire une critique — qui me coûte!— là-dessus, c'est parce que tant de néant est tout de même rare, et donc remarquable, et notable !

• Henri Mesquida

  très réussi et pourtant je l'ai vu en espagnol et je n'ai pas compris le quart de ce qui se disait (c'était une sorte de dialecte)

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